Kramarades !

...c'est d'être Kralandais.
Cette grande phrase est de mon pauvre père ( Tricastin Lefielleux) sur son lit de mort. Qu'il doit être heureux de voir l'étendard de Kraland briller en terres brunes.  Il n'était qu'un pauvre cabaretier unijambiste ( c'est ma maman à moi  qui lui  a découpé la jambe par inadvertance un soir de beuverie ). Comme il disait toujours après ses régulières flatulences " Encore un que les Bruns n'auront pas !!! ", et ça me faisait beaucoup rire .
C'est pourquoi je souris en pensant à la raclée que se prennent actuellement les Bruns.  Pourvu que cela continue.

Notre belle République va de conquêtes en conquêtes, je suis fiers de soutenir cet essor en travaillant à la recherche. Déja les empires rivaux commencent à trembler, n'est-ce pas messieurs les bruns ?  Ces derniers doivent déja se préparer à fuir comme des lâches  dès qu'ils vont ouïr les bruits des bottes kralandaises.

Depuis que je suis arrivé en Vodkalie, tout me semble plus beau . Travailler pour notre glorieuse patrie est un plaisir et en même temps un honneur. Certains n'en ont malheureusement pas assez conscience.

Notre douce République est merveilleuse et nous offre à tous la possibilité d'atteindre le bonheur universel. Merci à elle.

Entre les studieuses séances de recherche à l'Université et les repas conviviaux pris à l'auberge , il m'a semblé judicieux de penser à améliorer mon apport à la prospérité kralandaise.

La perspective de la création d'une Université en Vodkalie, paraît une solution rêvée. Participer à la décentralisation et à la recherche, voila une bon moyen de servir notre glorieuse patrie dans la joie.

Mais hélas, voyager n'est pas si facile, nous préparons donc méticuleusement ce départ. en espérant trouver rapidement des soutiens.

Après avoir  effectué mes huit heures de travail quotidienne pour Kraland dans la joie, je me suis rendu sur le port pour  profiter  du grand soleil éblouissant notre si douce patrie.

Qu'il est bon de revasser à l'ombre des verts tamariniers . Qu'il est doux de sentir la brise kralandaise dans ses cheveux.
Le bonheur est là, il ne reste qu'à le cueillir comme une fragile paquerette.

Kramarades, je vous souhaite la bienvenue sur mon blog.
Iscariote Lefièleux.